23 novembre 2007
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16:19
Certains partent du menu pour choisir le vin, en général avec de l'aide (reconnaissons que c'est le plus courant et le plus raisonnable), d'autres s'amusent à décliner un repas autour d'un vin... Après l'expérience Billecart-Salmon rosé, voici venu le temps des liquoreux, les vins de fête par excellence, ceux qui accompagnent par tradition le foie gras (mais je ne dédaigne pas un vin rouge pas trop tannique avec une terrine brute ou un foie poêlé aux champignons...)

Le vin choisi est un Coteaux du Layon St Aubin 2004 qui dormait dans la cave, après avoir été acheté chez mon copain Xavier, caviste à Orange, il s'agit de l'entrée de gamme de Philippe Delesvaux, une signature reconnue. Voici ce qu'en dit Olif, ici : "Du chenin passerillé récolté début novembre, comportant 85 g de SR. La robe est jaune pâle, plutôt brillante. Le nez est marqué par une note légèrement iodée et saline, apparemment caractéristique de la minéralité carbonifère du Layon. La bouche est linéaire, offrant une belle concentration en sucre, bien contre-balancée par le support acide. Un équilibre aérien très frais, pour un vin qui constitue l’entrée de gamme du domaine, d’un excellent rapport Q/P (7,65€ les 75 cl)."

Jusque là pas de souci mais je suis partie en roue libre, c'est à dire que j'ai composé mon menu sans avoir goûté le vin au préalable. Pas de grave erreur mais juste dommage car j'aurais changé mon fusil d'épaule.
Je connais mieux les moelleux et liquoreux du Sud-Ouest et d'Alsace, moins familière avec ceux de Loire, je leur reconnais une fraîcheur qui les fait paraître moins lourds. Celui ci ne déroge pas à la règle. Mais au niveau aromatique, je m'attendais à plus de fruit (confit). Or, il y avait aussi une note safranée marquée. Et du coup, je serais bien partie sur une alliance foie gras/safran et une déclinaison aromatique autour de l'épice. Passons...
Au menu il y eut donc : gougères au roquefort et noix, puis tartelettes au roquefort, poire et noix. En plat principal, foie gras poêlé au caramel de mangue et son accompagnement végétal, puis, un assez bon gorgonzola. Pour retrouver les rceettes, c'est ici pour les gougères et les tartelettes, là pour le foie gras et enfin, le dessert (clic).

Enfin, le dessert s'est axé autour du chocolat, de la mangue et des agrumes... Tout cela avec l'avis éclairé d'Eric (A boire et à manger), expert en vin et doué pour les accords mets-vins. N'hésitez pas à solliciter Eric et Olif pour un renseignement, un conseil... Ils seront toujours à votre écoute.

Le vin choisi est un Coteaux du Layon St Aubin 2004 qui dormait dans la cave, après avoir été acheté chez mon copain Xavier, caviste à Orange, il s'agit de l'entrée de gamme de Philippe Delesvaux, une signature reconnue. Voici ce qu'en dit Olif, ici : "Du chenin passerillé récolté début novembre, comportant 85 g de SR. La robe est jaune pâle, plutôt brillante. Le nez est marqué par une note légèrement iodée et saline, apparemment caractéristique de la minéralité carbonifère du Layon. La bouche est linéaire, offrant une belle concentration en sucre, bien contre-balancée par le support acide. Un équilibre aérien très frais, pour un vin qui constitue l’entrée de gamme du domaine, d’un excellent rapport Q/P (7,65€ les 75 cl)."

Jusque là pas de souci mais je suis partie en roue libre, c'est à dire que j'ai composé mon menu sans avoir goûté le vin au préalable. Pas de grave erreur mais juste dommage car j'aurais changé mon fusil d'épaule.
Je connais mieux les moelleux et liquoreux du Sud-Ouest et d'Alsace, moins familière avec ceux de Loire, je leur reconnais une fraîcheur qui les fait paraître moins lourds. Celui ci ne déroge pas à la règle. Mais au niveau aromatique, je m'attendais à plus de fruit (confit). Or, il y avait aussi une note safranée marquée. Et du coup, je serais bien partie sur une alliance foie gras/safran et une déclinaison aromatique autour de l'épice. Passons...
Au menu il y eut donc : gougères au roquefort et noix, puis tartelettes au roquefort, poire et noix. En plat principal, foie gras poêlé au caramel de mangue et son accompagnement végétal, puis, un assez bon gorgonzola. Pour retrouver les rceettes, c'est ici pour les gougères et les tartelettes, là pour le foie gras et enfin, le dessert (clic).

Enfin, le dessert s'est axé autour du chocolat, de la mangue et des agrumes... Tout cela avec l'avis éclairé d'Eric (A boire et à manger), expert en vin et doué pour les accords mets-vins. N'hésitez pas à solliciter Eric et Olif pour un renseignement, un conseil... Ils seront toujours à votre écoute.
Et puisque je joue mes Kashyle, rendez-vous demain pour la première recette de ce menu !