15 mai 2009
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L'éditeur dont je parlais dans un précédent billet m'a téléphoné hier pour me faire part de sa contrariété, affirmant, entre autres, que mon texte manquait d'objectivité. Cette conversation m'amène à préciser l'esprit de ce texte.
J'ai voulu faire part de mon expérience. J'ai évoqué des faits, relaté des évènements ; tous rigoureusement exacts. Je l'ai fait avec ma sensibilité et donc avec cette part de subjectivité qui préside à toute action humaine.
Mon texte ne prétendait pas à présenter une vérité universelle. Oui, il y a des bloggeurs édités et heureux... Oui, il en est des mécontents ! C'était mon cas, je l'ai écrit.
Je rappelle que je n'ai pas cité dans mon texte le nom de l'éditeur ni le nom de la maison dédition. Il ne s'agissait pas pour moi, en effet, de « régler des comptes ». Ce n'est pas dans mon caractère. Mais, seulement, et cela me semblait à la fois intéressant et suffisant, d'en rester aux faits qui m'ont valu cette déconvenue.
Que certains lecteurs aient cherché à savoir qui était cet éditeur est bien naturel...
Avant de conclure, je souhaite ajouter que j'ai proposé hier à cet éditeur d'accueillir sur mon blog un texte signé de son nom. Non pour entretenir une polémique, mais pour lui permettre, à lui aussi, de faire part de son ressenti. Il ne l'a pas souhaité. C'est son choix et je le respecte. En revanche, il a tenu à préciser que la situation financière de son entreprise est excellente, progresse par rapport à 2008 et ne souffre d'aucune dette.
J'ai voulu faire part de mon expérience. J'ai évoqué des faits, relaté des évènements ; tous rigoureusement exacts. Je l'ai fait avec ma sensibilité et donc avec cette part de subjectivité qui préside à toute action humaine.
Mon texte ne prétendait pas à présenter une vérité universelle. Oui, il y a des bloggeurs édités et heureux... Oui, il en est des mécontents ! C'était mon cas, je l'ai écrit.
Je rappelle que je n'ai pas cité dans mon texte le nom de l'éditeur ni le nom de la maison dédition. Il ne s'agissait pas pour moi, en effet, de « régler des comptes ». Ce n'est pas dans mon caractère. Mais, seulement, et cela me semblait à la fois intéressant et suffisant, d'en rester aux faits qui m'ont valu cette déconvenue.
Que certains lecteurs aient cherché à savoir qui était cet éditeur est bien naturel...
Avant de conclure, je souhaite ajouter que j'ai proposé hier à cet éditeur d'accueillir sur mon blog un texte signé de son nom. Non pour entretenir une polémique, mais pour lui permettre, à lui aussi, de faire part de son ressenti. Il ne l'a pas souhaité. C'est son choix et je le respecte. En revanche, il a tenu à préciser que la situation financière de son entreprise est excellente, progresse par rapport à 2008 et ne souffre d'aucune dette.