7 mars 2007
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12:43
A la lettre...
J'ai suivi la recette de Ségolène (boire et manger, quelle histoire !), LA marmelade d'orange amère, so british !
Vite fait bien fait...
J'ai détaillé les zestes en fines languettes et la pulpe en gros morceaux, couvert d'eau et laissé "infuser".
Lentement...
Le temps a fait son oeuvre, en l'espace de 24 heures, mais sans doute était-ce plus que le délai recommandé par la pâpesse de la mémoire culinaire, l'amertume a quitté le fruit. L'osmose, genèse de cette aventure gustative de cette confiture en devenir...
Généreusement...
J'ai couvert de sucre poudreux, à raison du même poids que la préparation obtenue, jus et fruits confondus. Le crissement glacé s'est assoupli au contact de la moelleuse amertume pour donner naissance à un mélange onctueux et gluant.
Sans coup férir...
Le sucre est devenu sirop brillant, luisant de ses feux orangés dans les quartiers fondus de la bigarade, investissant chaque parcelle fruitée. Osmose encore...
![](http://idata.over-blog.com/0/51/43/56/bouillonconfiturebigarade.jpg)
A pas de loup...
30 minutes, l'horloge en témoignait, le bouillon a duré, bruissant, grondant comme une cascade sucrée, signal d'une marmelade presque terminée.
Chaud devant !
La confiture s'écoule langoureusement au creux d'une cuillère, qu'elle nappe amoureusement avant de se figer... Dans les pots (préalablement stérilisés au four à 60°C), je l'ai versé, brûlante, collante, savoureusement parfumée. Les couvercles se sont refermés, les pots retournés... La confiture est terminée !
![](http://idata.over-blog.com/0/51/43/56/confiturebigarade.jpg)
J'ai suivi la recette de Ségolène (boire et manger, quelle histoire !), LA marmelade d'orange amère, so british !
Vite fait bien fait...
J'ai détaillé les zestes en fines languettes et la pulpe en gros morceaux, couvert d'eau et laissé "infuser".
Lentement...
Le temps a fait son oeuvre, en l'espace de 24 heures, mais sans doute était-ce plus que le délai recommandé par la pâpesse de la mémoire culinaire, l'amertume a quitté le fruit. L'osmose, genèse de cette aventure gustative de cette confiture en devenir...
Généreusement...
J'ai couvert de sucre poudreux, à raison du même poids que la préparation obtenue, jus et fruits confondus. Le crissement glacé s'est assoupli au contact de la moelleuse amertume pour donner naissance à un mélange onctueux et gluant.
Sans coup férir...
Le sucre est devenu sirop brillant, luisant de ses feux orangés dans les quartiers fondus de la bigarade, investissant chaque parcelle fruitée. Osmose encore...
![](http://idata.over-blog.com/0/51/43/56/bouillonconfiturebigarade.jpg)
A pas de loup...
30 minutes, l'horloge en témoignait, le bouillon a duré, bruissant, grondant comme une cascade sucrée, signal d'une marmelade presque terminée.
Chaud devant !
La confiture s'écoule langoureusement au creux d'une cuillère, qu'elle nappe amoureusement avant de se figer... Dans les pots (préalablement stérilisés au four à 60°C), je l'ai versé, brûlante, collante, savoureusement parfumée. Les couvercles se sont refermés, les pots retournés... La confiture est terminée !
![](http://idata.over-blog.com/0/51/43/56/confiturebigarade.jpg)
Published by Tiuscha
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Recettes - bonheurs confituriers et condimentaires
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