13 novembre 2009
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Fruit du cognassier, le coing ressemble à une grosse poire bosselée et duveteuse, au parfum envoûtant. Il parvient à maturité à l'automne, entre septembre et novembre, essentiellement dans des petits vergers de l'Est de la France. On le trouve peu sur les étals, s'agissant de productions surtout locales et familiales. Par ailleurs, le fruit se conserve mal, il a une fâcheuse tendance au pourrissement... Pour le garder longtemps, il faut le stocker dans une atmosphère sèche et bien aérée.
On doit le choisir bien mûr, d'une couleur jaune d'or et non jaune pâle ou verdâtre. Son duvet s'enlève alors facilement en le frottant.

On le consomme traditionnellement cuit et sucré afin d'atténuer son astringence. Pourtant, bien mûr, on peut le consommer cru, râpé "minute" car il s'occide très vite, cela permet de bénéficier de cette jolie source de vitamine C !
Cuit, on peut le consommer avec la peau s'il est bien mûr. Riche en pectine, il gélifie aisément pour donner naissance à de superbe gelées de coing allant du jaune doré au rouge brique. On en fait des confitures, des chutneys et de la pâte de coing, l'un des 13 desserts de Noël en Provence.
Difficile à couper et à éplucher, on peut le précuire pour aider à ces manipulations culinaires...
Il se cuisine sucré dans des tartes, cakes, gâteaux, en compote ou en sorbet, dans de multiples desserts d'automne. Il se marie avec de nombreuses épices comme le macis, la muscade, le gingembre, la cardamome ou la cannelle. Le coing embellit les plats salés notamment de gibier, ou donne une touche capiteuse et élégante à un foie gras. On le cuisine aussi en sucré-salé dans des tajines notamment.
On doit le choisir bien mûr, d'une couleur jaune d'or et non jaune pâle ou verdâtre. Son duvet s'enlève alors facilement en le frottant.

On le consomme traditionnellement cuit et sucré afin d'atténuer son astringence. Pourtant, bien mûr, on peut le consommer cru, râpé "minute" car il s'occide très vite, cela permet de bénéficier de cette jolie source de vitamine C !
Cuit, on peut le consommer avec la peau s'il est bien mûr. Riche en pectine, il gélifie aisément pour donner naissance à de superbe gelées de coing allant du jaune doré au rouge brique. On en fait des confitures, des chutneys et de la pâte de coing, l'un des 13 desserts de Noël en Provence.
Difficile à couper et à éplucher, on peut le précuire pour aider à ces manipulations culinaires...
Il se cuisine sucré dans des tartes, cakes, gâteaux, en compote ou en sorbet, dans de multiples desserts d'automne. Il se marie avec de nombreuses épices comme le macis, la muscade, le gingembre, la cardamome ou la cannelle. Le coing embellit les plats salés notamment de gibier, ou donne une touche capiteuse et élégante à un foie gras. On le cuisine aussi en sucré-salé dans des tajines notamment.
Fleur du cognassier

Pour en savoir plus sur l'histoire quasi mythologique de ce fruit, cliquez ici et pour connaîre ses atouts diététiques, c'est par là !