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Par Tiuscha
Le Château de Grignan dans la Drôme, fut un lieu de villégiature de Madame de Sévigné dont la fille avait épousé le comte de Grignan. C'est entre Grignan et Paris que s'effectuera la correspondance entre la mère et la fille qui donnera lieu à publication.
Passage à la salle d'office, où, des cuisines à l'étage au dessous, on finissait de préparer le repas, on posait les plats, terminait le dressage... Deux petites cheminées, une table pour unique mobilier.
L'escalier menant à la salle principale à l'étage du dessus, celle où sont donnés les dîners, soupers et autres événements d'envergure.
A noter, une très belle galerie toute de bois (parquets, plafonds, boiseries des murs) qui servait également de salle de bal. L'entrée se situe à l'extérieur du château, elle est actuellement en phase de restauration et ses parquets sont protégés.
Taillés dans la pierre, un poste de repos pour la domesticité !
La fenêtre correspond à celle que l'on voit en bas de la façade arrière. L'office est donc un demi-étage entre les cuisines au sous-sol et les pièces d'apparat et les chambres du premier et deuxième étage.
Une toile gourmande d'un peintre de l'époque : nature morte à la grenade, aux champignons, aux fruits et bouquets de fleurs de Cavalier Morati (2ème moitié du XVIIème siècle).
Vue du château...
Et pour terminer, un labyrinthe digne d'Alice (pour vous rappeler le thé du Chapelier fou, au passage !)
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