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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 15:38
Vous n'êtes pas sans savoir (si ?) que j'ai un splendide cognassier dans mon jardin qui me fournit annuellement en pâte et gelée de coing, selon la tradition provençale mais que... Voici donc un florilège de recettes, sucrées et salées, en hommage au coing, ce fruit adoré, si parfumé qu'il en est parfois entêtant ! Des recettes piochées sur ce blog mais aussi sur Trois petits tours et cuisinons !

Pour y accéder, il n'y a qu'à cliquer sur la photo !
NB ce billet est une réédition, avec les mises à jour de nouvelles recettes... Et pour tout savoir sur le coing, cliquez ici !

Le coing, version sucrée...
 
Sorbet coing/orange (et sa tuile aux noix)sorbetcoingtuilenoix.jpg

 

Tartelette au coing et turron de Jijonatartelettecoingturronjijona.jpg

 

  Tartelette aux deux pommes, coing, fleur de sureautartelettepommecoingfleursureau.jpg



Pâte de coing à la rose

 

Charlotte de pain d'épices au coing et au mascarpone


Coing farci
coingfarci.jpg

Tartelette au potimarron et au coing
tartelettepotimarroncoing2.jpg

Pseudo-financier crousti-fondant aux coings et noixfinanciercrsoutimolleuxcoingnoix2.jpg
Muffin aux coings rosés et aux groseilles


Entremets coing-marron

Compote de coing au chocolat blanc et gingembre confit


Pancake de petit épeautre au coing, parfumé à la noisette (sans lait de vache)

Corne d'abpondance d'Automne à la gelée de coing

Biscuits allégés à la compote de coing

Cake à la farine de châtaigne, aux pommes, noix et à la pâte de coing

Coing tout rose

Compote de coing et pomme à la cardamome

Gratin de pomme et coing à la cannelle

Fondant au coing

Crousti-charlotte au coing, chocolat blanc et pralines roses

Meli mela, confiserie antique romaine


Et une boisson, l'eau de coing (aïgo de coundoun en provençal)

eaudecoing2.jpg

Et le coing, version salée !
 

 

Millefeuille chèvre et coing

millefeuillecoingchantillychevrenoix.jpg

 
Marbré de foie gras au coing
 
Confit de porc, marrons, coing et hydromelconfitporcmarroncoinghydromel
 
Nougat de foie gras, chutney comme une pâte de coingnougatfoiegrasbonbonchutneycoing.jpg
 
Brochette de foie de veau, coing et pain d'épices, jus balsamique et pain d'épices

Blanquette de veau au coing
blanquetteveaucoing.jpg
Gâteau salé au coing (recette de Véro-Cuisine Sauvage)

Canard rôti aux coings, navets au céleri-branche

Chausson au coing et au boudin

Carottes râpées, fausse mayonnaise au coing

 

 

 




 

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 06:30

yummyN4.jpgVous connaissez le magazine participatif Yummy et ses recettes colorées, le N°4 est à feuilleter ici et à télécharger là. Vous avez transmis vos recettes pour le prochain numéro ? celui-ci est à paraître très bientôt...
Mais connaissez-vous les "news" Yummy ? La rubrique "news" propose de l'actualité gourmande, des nouveaux produits, des tendances culinaires, des livres, des événements... autant d'infos triées sur le volet par le trio de choc de Yummy !, Carole, Mamina et Trinidad. Je craque notamment pour le livre de William Ledeuil ou ce fromage blanc au lait de brebis.
Et vous, connaissez-vous cette nouvelle rubrique ?
W ledeuil

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 13:15

Manger du homard, ce n'est pas tous les jours ! Et c'était déjà la fin de la saison, pour ce menu homard proposé par Laurent Azoulay pour l'opération Tous au Restaurant (alias TAR, "mon invité est son invité", "vous ne payez qu'un repas sur deux", l'opération a été victime de son succès et tous les restaurateurs n'ont semble-t-il pas joué le jeu). Mais cela m'a donné l'occasion d'aller enfin au Saule Pleureur à Monteux, pas si loin en fait, et d'y découvrir un chef plein de sensibilité, généreux et courageux. Le cadre est champêtre, avec une mare à grenouilles et de grands arbres qui abritent des écureuils joueurs, un spectacle idéal pour les enfants !saulepleureur.JPGLe déjeuner a débuté avec un trio d'amuse-bouches : un velouté de fenouil, une glace au fenouil et une bouchée au Comté. Bon et ludique mais peut-être pas si pratique à manger.saulepleureu_amusebouche.JPG Mon premier choix s'est porté sur un Champagne, un Veuve Clicquot Vintage Rich 2002 pour accompagner le repas (merci TAR !), je n'ai pas regretté, de fines bulles, beaucoup de caractère, de la vinosité, très bon accord, notamment avec le clou du repas : la queue de homard façon gibier !saulepleureur_champagne.JPG 
Premier plat : les pinces de Homard, en tempura, velouté de cresson des fontaines, crème glacée d'une bisque. La carotte est subtilement épicée, le cresson apporte sa note végétale et poivrée, la glace à la bisque est très parfumée, très bonne entrée.
 saulepleureur_entreehomard.jpg

Puis, les coudes en fine raviole aux herbes, bouillon émulsionné de crevettes grises au curcuma. beaucoup de saveurs mêlées, de raffinement avec la présence des fleurs de bourrache (qui font toujours bon ménage avec les produits de la mer), mais aussi du tempérament avec le curcuma ; un seul bémol : la pâte à raviole un peu trop épaisse, dommage.saulepleureur_raviolehomard.JPG

En plat, la queue rôtie en cocotte au foin, quelques champignons de saison, émulsion d'une Américaine*.  Avec là encore, l'émulsion versée en salle (en l'occurrence sur la terrasse !).saulepleureur_plathomard.JPG

En réalité, le plat est bien plus riche que son intitulé, il comporte une goûteuse purée de cèpe, de la chicorée, dense et un peu amère, des fruits rouges acidulés et beaucoup de complexité dans l'assiette ! Le homard révèle un caractère étonnant, presque giboyeux, que j'ai adoré, et quel accord avec le Champagne ! Magnifique plat.
*vous la connaissez aussi sous le nom d'Armoricaine...

saulepleureur_homardplat.JPGLe chèvre de Provence affiné par nous aux herbes du jardin, ma confiture de tomates vertes. Très bon, simple mais quand les produits sont de premier choix...saulepleureurfromage.JPGLe dessert fruité, de saison : les figues noires cuites au four à la crème d'amande, sorbet cassis / vin rouge et porto. Très bon également qui rappelle une recette testée récemment sur Saveur Passion. Le sorbet est un pur délice pour qui adore comme moi le cassis : de la bombe !saulepleureur_dessert.JPG

Et un café gourmand, avec ses mignardises présentées dans une ancienne boîte à couture, j'ai beaucoup aimé le recyclage ! Dans l'ensemble délicieux, avec un coup de coeur pour les pâtes de fruits fraise/citron. Et même, sur le pas de la porte, une dernière friandise : une guimauve au jet 27, très bonne, et je sais de quoi je parle !saulepleureur_cafegourmand.JPG

Très bonne table, avec un chef talentueux et un sommelier "spectaculaire", "Dalinien", fort sympathique également.

Le Saule Pleureur
145 Chemin Beauregard
84170 Monteux
04 90 62 01 35
Site Internet

 

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 15:08

masamiel_prestige_15ansdage.jpgLe vin qui aimait les femmes, un titre à la Truffaut, un de mes réalisateurs favoris, avec des références à des films fétiches, le thème proposé par Jacques Berthomeau pour cette 39ème édition des Vendredis du Vin a déjà tout pour me séduire ! Car il est question de séduction. En tant que femme, je répondrai très égoïstement à cette quête du vin-amant.

Un vin qui aime les femmes est un vin qui leur apporte du plaisir, sans contrainte, sans artifice extérieur (sauf peut-être un carré de chocolat de grande origine) ; un vin qu'on adore pour lui-même. Sa bouteille est une invitation sensuelle. Il est ambré comme un regard d'amant brillant au soleil. Il est à la fois puissant et doux, comme un homme, une main de fer dans un gant de velours...  Sa liqueur précieuse coûle dans la gorge sans irritation, sans tanins agressifs, un miel, un nectar qui vous envoie au 7ème ciel. Et il nous fait tourner la tête juste ce qu'il faut, sans nous voler notre conscience, notre lucidité et le charme opère sans discontinuer ; c'est un vin qui prolonge un tête-à-tête tard dans la nuit, que l'on sirote sans précipitation, pour prolonger le plaisir... Un vin à la fois tendre et viril, complexe, sensuel et raffiné. Un vin parfait ?
Ce Maury Prestige 15 ans d'âge du Mas Amiel est un bon amant, mais sans être volage (jamais deux vins-amants à la fois !), je dois avouer qu'il en est d'autres qui ont aussi du savoir-faire...
 
Pour tous les vins qui aiment les femmes, rendez-vous sur facebook.

 

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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 06:24

congresoarroz.jpgDu 29 septembre au 2 octobre a lieu à Valence (Espagne) le Congreso del arroz, manifestation entièrement dédiée au riz, avec un hommage particulier à la paella bien sûr ! Ne pouvant y assister, voici mon salut virtuel avec une nouvelle paella gourmande, une paella blanche (sans le sofrito, le mélange à base de tomate et pimenton) safranée au cochon et aux morilles. Saveurs harmonieuses, un riz bien moelleux, goûteux, avec juste ce qu'il faut de socarrat (riz grillé au fond de la paella), comme j'aime ! Pour ceux qui ne sont pas loin de la frontière espagnole, voire en Espagne même, vous pourrez en savoir plus sur cet événement, cliquez ici.  

Ingrédients
- 300 grammes de riz
- 300 grammes de cochon à griller
- 10 grammes de morilles séchées
- 3 gousses d'ail
- 2 cébettes

- 25 filaments de safran (ou 8 filaments)
- 100 ml de bouillon de volaille
- 1/2 cuillère à café de pimenton
- 1 sachet de spigol
- huile d'olive

- sel
Préparation
Réhydrater les morilles dans environ 200 ml d'eau, garder cette eau parfumée pour la cuisson du riz.
Faire infuser le safran dans un peu d'eau, au moins 1 heure avant, idéalement plusieurs heures.

Dans la paella, faire frire les gousses d'ail coupées en 4 ou 6 dans l'huile d'olive. Faire dorer le cochon coupé en gros dés ainsi que la cébette coupée en rondelles, vivement. Réserver.

Remettre un peu d'huile d'olive si besoin et verser le riz, une cuillère à soupe de sel, le pimenton, le spigol, et mouiller de bouillon de volaille . Ajouter les morceaux de cochon, mélanger et cuire à feu vif en ajoutant peu à peu le bouillon des morilles ou enfourner à 180°C environ 30/40 minutes, en ajoutant l'eau safranée et la cébette en fin de cuisson. Surtout, ne plus mélanger le riz. En cas de cuisson au four, remettre sur feu vif 5 minutes pour le socarrat !paellacochonmorillesafran.jpg

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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 06:52

Le chaud-froid de volaille est un apprêt ancien de blanc de volaille nappé d'une gelée et servi froid ; on trouve aussi la même préparation pour du gibier à plume, mais aussi des poissons ou des légumes. Cette pièce de buffet est sujette à caution quant à son orthographe et à son origine : tantôt, on écrit "chaufroix" du nom du chef-entremetier des cuisines de Versailles en 1774, tantôt, on écrit chaud-froid, nom donné par le Maréchal debouillonariake.jpg Luxembourg, lors d'un repas tardif, en 1759 : le Maréchal gourmet convie régulièrement des convives autour de soupers d'anthologie dans son château de Montmorency. Un soir, il est obligé de rejoindre le Roi et d'assister au Conseil. Contraint d'abandonner ses invités, il dégustera la volaille dans sa sauce figée, non réchauffée, et s'en régalera...
Le chaud-froid (cuisiné chaud, servi froid) a quelque chose de suranné, voire d'un peu kitsch que j'ai eu plaisir à rajeunir un peu, avec ce blanc de pintade encadré de gambas et girolles, habillé de thym citron et de pimprenelle. Le nappage comme le pochage de la pintade étant réalisés à base de bouillon de crustacé Ariake. Je n'utilise que rarement des bouillons tout prêts mais Mamina avait été tellement élogieuse que j'ai eu envie de tester cette gamme signée Joël Robuchon, et il faut bien avouer qu'ils sont délicieux. Parfait pour un risotto, une paella, pour pocher des ravioles... En l'occurrence, pour cuire en douceur la pintade et créer la sauce gélifiée du chaud-froid, en m'inspirant de la recette de Chef Simon, pour le concours Ariaké sur 750g.
Ingrédients (pour deux)
- 2 blancs de pintade
- 1 poignée de girolles
- 2 gambas
- 1 sachet de bouillon de crustacés Ariake
- 3 feuilles de gélatine
- 2 cuillère à soupe de crème liquide
- 20 grammes de beurre
- 20 grammes de farine
- huile/beurre (cuisson gambas et girolles)

- sel, poivre
Préparation
Reconstituer le bouillon de crustacés et y pocher la volaille dans le bouillon à frémissement pendant une dizaine de minutes. Egoutter en réservant le bouillon, et laisser refroidir la pintade. Faire réduire le bouillon pour le concentré, il vous en restera environ 180 ml.

Préparer un roux avec le beurre et la farine, mouiller du bouillon et laisser épaissir en ajoutant la gélatine préalablement ramollie dans l'eau froide et en ajoutant un peu de crème. Napper les blancs de pintade en plusieurs fois en laissant figer au froid (environ 4 passage pour moi). Décorer de thym citron et de pimprenelle.

Faire sauter les girolles et les gambas dans un mélange huile/beurre avec du thym citron, saler et servir avec le chaud-froid de pintade aux herbes.

chaudfroidpintadegambasgirolles.jpg

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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 06:48

Cette semaine, la "sandwicherie du mercredi" fait une halte en Asie : entre autres sandwiches, le rouleau de Printemps est facile à manger sur le pouce et diététique dans sa feuille de riz, il est de plus, très rapide à préparer. Celui-ci est d'inspiration locale et automnale à base de courge, châtaigne et volaille, avec une petite sauce à base d'huile de noisette qui va bien. A part cet autre rouleau très végétal à base de légumes de Printemps (et donc plus de saison), pour pouvez en faire des sucrés sur ce modèle.

Récap de ma "sandwicherie du mercredi" : currywurstcroque-monsieur à l'italienne, sandwich "suédois" au saumon fumé, chou rave et aneth. Rendez-vous mercredi prochain pour un autre sandwich !rouleauprintempscourgechataignevolaille.jpg
Ingrédients (pour 4 rouleaux)
- 4 crêpes de riz
- 60 grammes de volaille cuite environ (ici pintade)
- 80 grammes de courge (muscade)
- 2 cuillères à soupe de chou rave râpé
- 3 ou 4 châtaignes (des bouches rouges ici)
- 1 poignée de vermicelles de soja
- 4 brins de ciboulette
- 2 cuillères à soupe de pourpier
pour la sauce
- 2 cuillères à soupe dhuile de noisette
- 1 cuillère à soupe de sauce soja
- 1 cuillère à soupe de vinaigre de riz
Préparation
Cuire la courge à la vapeur et prélever la quantité nécessaire et la couper en morceaux. Cuire les vermicelles de soja dans l'eau bouillante salée. Humidifier les crêpes de riz, déposer des lamelles de courge, châtaignes et volaille, des vermicelles, parsemer de chou rave râpé, de pourpier et de ciboulette ciselée. Refermer les crêpes de riz. Mélanger l'huile de noisette, la sauce soja et le vinaigre de riz, bien émulsionner et déguster le rouleau en trempant dans cette sauce.

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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 06:33

Après les muffins ardéchois, les bouches rouges, cette variété de châtaignes d'Ardèche, sont aujourd'hui cuisinées en version salée aux côtés du fenouil, un mariage de coeur, dans une assiette gourmande de nouilles soba aux 2 cochons : saucisse genre chipolata et côte de porc, auxquels s'ajoutent de la cébette pour le peps et de la cacahuète pour le crunchy et le caractère asiatique... Tout simple mais une jolie association de saveurs, bien gourmandes ! En piste pour la recette.
Ingrédients (pour deux)
- 70/80 grammes de nouilles soba (au sarrasin)
- 1 saucisse
- 1 côte de porc
- 1/2 bulbe de fenouil
- 4 châtaignes cuites
- 1 cébette
- 1 cuillère à soupe de cacahuète non salée concassée
- huile d'olive
- sel, poivre
Préparation
Faire revenir le fenouil taillé en lamelles ou en dés dans l'huile d'olive, saler, poivrer.
Cuire la saucisse et la côte de porc et faire sauter la cébette coupée en rondelles.
Cuire les nouilles soba. Les mélanger avec le fenouil, la cébette, des éclats de châtaigne, la saucisse et la côte de porc coupées en morceaux, bien amalgamer et parsemer de cacahuète avant de déguster. Bon appétit !sobacochonfenouilchataigne.jpg

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 06:16

Il y a une dizaine de jours, j'ai retrouvé Irisa et Ewa, les soeurs ardéchoises, du côté de Manosque (je vous raconte bientôt). J'en suis repartie entre autres avec des châtaignes de la variété bouche rouge, à la coque rougeoyante et à la chair bien jaune, qui viennent bien entendu d'Ardèche. Merci les filles ! C'est donc à elles que j'ai pensé en réalisant ce muffin ardéchois, presque 100% châtaigne (avec un coeur surprise que j'affectionne particulièrement : un double coeur de crème de marron et de morceau de châtaigne) ! Mais c'est aussi un muffin pour Sophie qui organise le Muffin Monday #6 sur le thème des muffins régionaux.muffinardechois.jpg

Ingrédients
- 150 grammes de farine de châtaigne
- 50 grammes de farine de lentille
- 1 cuillère à café de bicarbonate
- 1 cuillère à café de poudre à lever
- 50 grammes de sucre blond
- 50 grammes de beurre
- 150 ml de lait
- 1 oeuf
- QS crème de marron
- 1 ou 2 châtaignes cuites (ici des bouches rouges ardéchoises)
Préparation
Mélanger les farines, le sucre, le bicarbonate, la poudre à lever d'un côté, le lait, le beurre fondu, l'oeuf battu de l'autre. Amalgamer les deux sans trop travailler la pâte. Verser dans les moules beurrés (ou moules papier), en intégrant au milieu une cuillère à café de crème de marron et un morceau de châtaigne.
Enfourner à 180°C environ 25 minutes (vérifier la cuisson), laisser tiédir et démouler délicatement les muffins.

Voici les fameuses bouches rouges, vous en trouverez donc encore prochainement sur le blogchataigneboucherouge.jpg

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 07:02

L'arbouse est originaire du bassin méditerranéen : on le trouve en Espagne (aux côtés de l'ours, l'arbousier est l'emblème de Madrid), en Italie, dans le maquis corse et dans le Sud de la France. L'arbre est rustique et s'acclimate même en Grande-Bretagne, jusqu'en Irlande. Ne la confondons pas avec la fraise chinoise qui lui ressemble mais qui possède un noyau, même si l'arbousier est couramment surnommé "arbre à fraises"... Il faut également distinguer l'arbousier, arbre décoratif au feuillage brillant et aux baies écralates, de l'argousier, autre arbuste méditerrannéen qui produit de petits fruits jaunes.arbouse.jpg

De la taille d'une cerise, l'arbouse est hérissé de graines à sa surface, un peu comme la fraise, qui "grattent" un peu en bouche ; sa chair est légèrement farineuse et bien sucrée. Le fruit murit en septembre et se déguste bien rouge. On en fait des gelées et confitures, des sirops, liqueurs et du "vin". La baie est en effet naturellement riche en fructose, et en alcool lorsque les baies sont très mûres.
Avec près de 110 calories aux 100 grammes, l'arbouse est hautement nutritionnel, c'est une excellente source de vitamine C et d'éléments antioxydants : de quoi se préparer aux premiers frimas de l'automne avec un bon coup de fouet vitaminé !

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