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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 16:21
Je me suis laissée inspirée par une envie de bichromie : du blanc et du vert dans mon assiette pour une très fraîche impression !
Alors j'ai assorti la mâche avec le navet cru, le chou-fleur cru et le kiwi, le tout servi avec une sauce aigre-douce au yaourt... de chèvre !
















Ingrédients
- 4 belles poignées de mâche
- un beau bouquet de chou-fleur cru
- 1 navet rond blanc (dont j'ignore le nom de la variété...)
- 1 kiwi
- 1 cuillère à soupe d'huile de noix
et pour la sauce
- 1 demi-yaourt au chèvre (ou mélange yaourt fromage de chèvre)
- 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre
- 1 demi cuillère à café de miel
- sel, poivre

Préparation
Couper le chou-fleur menu-menu, le kiwi en fine tranches, séparer les feuilles de mâche mais les garder entières, couper des copeaux de navets (à l'économe) pour conserver la transparence du légume et arroser d'huile de noix. Mélanger les ingrédients pour la sauce et déguster bien frais !

Encore plus de mâche ? Voir cette verrine légère et fraîche...

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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 09:31
A l'invitation de Tara et pour répondre au billet de Claire, je réagis à un énième plagiat (question droits d'auteur, on est bien mal protégé dans notre pays je trouve), cette fois-ci c'est une petite maison d'édition qui en fait les frais. J'ai adressé un mot de soutien à l'éditrice ne pouvant faire grand chose d'autre (je ne suis pas avocate !)

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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 06:40

Tout ça pour un pigeon ? Il en a de la chance, mais nous aussi !
Petit (400 grammes), fermier, en provenance de mon premier panier paysan, blanc et bien frais. Pour trois (enfin, deux et un quart, à peine vu le gabarit de la minette susceptible d'en manger puisque la grande est partie...), cela sera sans doute un peu juste. Wait and see...

Quelle cuisson ? Quelques chose de simple, je suis totalement incapable de désosser avant cuisson, et le pigeon en plusieurs cuissons ou services, trop complexe. Restons simple : il sera cuit au four. Si je me laisse déborder, mieux vaut en cocotte sinon il risquerait de sécher...

Ensuite l'accompagnement, un traditionnel chou/marron (avec le chou blanc du panier paysan, en revanche ce n'est plus la saison des marrons, ils seront donc en conserves), puis une écrasée de pomme de terre, enfin pour la saveur principale, ce sera la baie de genièvre (inspirée d'i-saveurs).

Ingrédients
- 1 pigeon de 400 grammes
- 5 pommes de terre type Charlotte
- 1 demi chou blanc
- 60 grammes de châtaignes
- 1 cuillère à café de baies de genièvre
- 2 échalotes
- lard gras
- beurre demi-sel
- graisse de canard ou d'oie
- crème fraîche
- cognac
- vin blanc sec
- bouillon de volaille
- persil
- sel, poivre

Préparation
Utiliser une cocotte à couvercle allant au four et y faire revenir une échalote dans un peu de
graisse de canard (ou d'oie). Enlever et remettre environ deux cuillères à soupe de graisse. Faire dorer le pigeon sur toutes ses faces, mouiller avec une cuillère à soupe de cognac, une de vin blanc et trois de bouillon. Mettre au four couvert à 220°C durant environ 45 minutes en surveillant la cuisson et en tournant régulièrement le bestiau... Il est à point quand il est encore rosé.











Dans l'intervalle, préparer le chou : réserver deux feuilles par assiette, blanchies et cuites dans l'eau salée. Détailler en petits morceaux et faire fondre avec un peu de lard gras. Ajouter l'échalote, les châtaignes et un peu de bouillon. Faire compoter à feu doux.
Cuire les pommes de terre et les écraser avec du beurre demi-sel. Garder au chaud.
Faire torréfier les baies de genièvre et les écraser au pilon. Faire revenir une échalote dans le beurre, ajouter les abats du pigeon, les baies de genièvre et 10 cl de bouillon. Mixer et remettre sur feu doux avec un peu de crème fraîche.
















Découper le pigeon et dresser sur les feuilles de chou, avec la compotée de chou et de châtaignes d'un côté, l'écrasée de pommes de terre de l'autre, arroser d'un filet de sauce, procéder sur le bord du four ouvert pour conserver la chaleur et servir enfin avec la sauce servie séparément.

On retrouvera cette recette prochainement sur Croque-en-bouche !



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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 16:32
Pas mieux qu'un bouquet de mariée ! Mais quand même attrapé... Alors, je me transforme à mon tour...

En légume
La tomate, rouge, juteuse, estivale, toute ronde et gaie, pimpante et grimpante, prolifique, généreuse et sensuelle. Ne dit-on pas rougir de plaisir ?

En fruit
Un fruit rouge c'est sûr ! Entre fraise et framboise, mon coeur balance... J'opterai pour la première mais si l'autre fait tout pour la détrôner. Ses petits picots et sa consistance granuleuse m'ont toujours amusée.

En épice
Très difficile, j'adore la cannelle, le cumin mais aussi le poivre, le clou de girofle. Je les utilise beaucoup en mélange, notamment dans le pain d'épice !

En herbe
Là encore, choix difficile, j'adore en avoir tout plein sur mon balcon (donnant sur la cuisine !) et dans le potager : thym, romarin, menthe, citronnelle, coriandre, persil... Finalement, je dirai le thym, que j'utilise sûrement le plus...

Un dessert
Au chocolat, genre fondant, ou alors acidulé, ou alors les deux genre un fondant au chocolat et sa crème d'agrume !

Un bonbon
Au miel (voire à la violette et au miel !)

Un chocolat
Noir fourré praliné

Une confiture
Fruits rouges ou orange amère

Une cuisine
Variée, colorée, gourmande, surprenante

Un couvert
Une fourchette à dessert, c'est petit mignon mais acéré, piquant, comme moi ! Gare !

Une boisson alcoolisée
Du vin bien sûr !  Blanc ou rouge, doux naturel ou moelleux, de toutes les régions et payx pourvu qu'il soit bon !

Une boisson non alcoolisée
De l'eau, du café et du jus de pamplemousse (au petit déjeuner)

Un restaurant ?
Un salon de thé, mais pas que ! Avec une épicerie pleine de petites choses sympathiques à emporter chez soi, des expos/ventes de peintres (aquarellistes à thème, culinaro-jardino-paysageo-elfique etc..), peut-être aussi des concerts organisés sur place (en extérieur car bien sûr il y aurait un patio, une terrasse avec des herbes condimentaires, des fleurs à cuisiner, etc...), entre autres choses ! Bref elle serait aussi éclectique que moi, que mon blog !

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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 11:56















Ce n'est pas de saison (contrairement aux fraises qui sont presque de saison, vraiment ces premières grosses rouges de pays, quel délice), mais j'ai eu une irrésistible envie de sarrasin. C'est un goût que j'adore (LUI pas) avec le lard et le Brézain (fromage fumé savoyard), une poignée de persil, c'était parfait pour ce menu plaisir (non, je ne suis pas enceinte !).


Le Brézain c'est ça :
On le recommande pour les raclettes
(il fond parfaitement et
parfume bien les compagnons
"charcutier" et "boulanger")
Moi, je l'utilise aussi en cuisine
dans des quiches, tartes, etc...




Pour ce clafoutis, j'ai tronqué la farine de blé contre celle de sarrasin, que j'adore !

Ingrédients
- 65 grammes de farine de sarrasin
- 1 oeuf
- 100 grammes de poitrine coupée en lardons
- 50 grammes de brézain
- 1 demi cuillère à café de sel
- 1 cuillère à café de levure
- persil

Préparation
Mélanger les ingrédients pour l'appareil à clafoutis : farine, oeuf, sel, levure. Faire revenir les lardons dans une poelle anti-adhésive. Ajouter ainsi que le fromage fumé coupé en morceaux. Enfourner à 210°C durant 30 minutes et parsemé de persil à mi-cuisson.
Servir tiède, c'est meilleur, pour que le fromage reste bien fondu...


Une autre recette à base de farine de sarrasin ? C'est ici !

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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 11:46

Les toutes premières fraises de pays (c'est à dire de la région de Carpentras),

parce que ma fille (en vacances) m'a accompagné au marché
et qu'elle lorgnait dessus !

Du parfum et du goût, c'est indubitable... A 20 euros le kilo, elles peuvent !

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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 19:00
Emancipée, féministe avant l'heure, sexuellement et socialement libérée, la garçonne de la littérature française (avec Georges Sand) est aussi une femme de vin ! Elle l'apprécie et elle l'a cultivé.

La bourguignonne amateur de toutes les nourritures terrestres nous offre à travers son oeuvre (qui recèle de nombreux éléments autobiographiques) toute l'ampleur de son intérêt pour le vin et la cuisine, ainsi qu'un témoignage de ce qui se mange et se boit alors.

Pour elle, l'eau se boit pour étancher la soif, en dehors des repas, tandis que "le vin c'est, selon sa qualité et son terroir, un tonique nécessaire, un luxe, l'honneur des mets".
Dans sa prime enfance, elle goûte parcimonieusement de grands vins : "je bus du vin tous les jours, très peu à très peu, savourant la gorgée au passage" ; elle acquiert peu à peu de véritables références vinvicoles et une connaissance toujours enrichie des terroirs et des cépages. Elle s'intéresse également au travail de la vigne et aux méthodes de vinification.

"La vigne, le vin sont de grands mystères. Seule, dans le règne végétal, la vigne nous rend intelligible ce qu'est la saveur de la terre. Quelle fidélité dans la traduction ! (...) Quelle journée sans nuage, quelle douce pluie tardive décident qu'une année de vin sera grande entre les années ? La sollicitude humaine n'y peut presque rien, là tout est sorcellerie céleste, passage de planète, taches solaires"

Les vendanges deviennent pour elle une tradition, ainsi qu'une mode pour de nombreux passionnés, un passage obligé pour découvrir "la récolte lente, les paniers pleins, la soif qui croit se satisfaire en mordant la grappe, et qui s'attise..." C'est une fête des yeux, des papilles...
Et bientôt, c'est de ses vendanges qu'il s'agira. La vigneronne décrit avec poésie le travail du vin, la maturation, l'évolution de cette matière vivante. Le sien, celui des autres, le vin est à la fois d'essence divine et naturelle, païenne presque ! Et il est magique...

Evoquant par exemple le beaujolais : "j'abordai le Vin au secret d'une de ses chambres intimes (...) Les grandes portes rabattues, le Cru semblait retiré à même une grotte, et de son haut plafond il me jeta ensemble une chape glacée d'air immobile, la divine et boueuse odeur des raisins foulés, et le bourdonnement de leur ébullition".

Colette est une véritable dégustatrice, elle boit de petites quantités, attentive, concentrée sur le contenu de son verre... Comme toutes les femmes, elle est avant tout une olfactive et décrit merveilleusement les émotions liées aux flaveurs envoûtantes des crus, dans la bouche parfois de ces personnages : dans Chéri, elle parle du "pétillement à l'odeur de rose d'un vieux champagne" ou encore de "l'ardeur musquée du vin d'Asti" dans Claudine à Paris...

Parmi ses vins de prédilection figurent en bonne place ceux de son enfance, les vins doux naturels et liquoreux comme le frontignan (qu'elle dégustait enfant) et le sauternes, les vins de pays, notamment méridionaux, les grands bordeaux (Château-Larose, Château-Laffite..) et bien entendu les bourgognes ! Dans la cave familiale, il y avait des crus fameux (Corton, Chambertin) mais c'est surtout sur le tard qu'elle se passionnera pour les vins de Pommard ou de Gevrey-Chambertin. Et son "must" avec la truffe est un Mercurey, "à défaut d'un grand ancêtre bourguignon au sang généreux"...

"Nous faisons visite, aujourd'hui, à la dissidente qui affronte le Cru, à la Firme qui vend du vin bourguignon : “Analysez-moi, goûtez-moi, dit-elle. Mes vins charrient l'or et le rubis classiques, ils sont purs de mésalliance. (...) J'amasse des vins qui sont originaires des vignobles de Bourgogne. Je groupe, fidèles et épars, des cadets généreux que le Cru, lorsqu'il ne les réquisitionne pas, traite de bâtards sans honneur (...) On trouvera que je traduis, que je résume en des termes tant soit peu lyriques. Mais comment parler froidement, quand il s'agit d'une gloire nationale, du vin de Bourgogne ?".

En cuisine, autant l'alcool est à limiter car trop brutal, autant le vin est un partenaire précieux et une boisson qui allie gaieté et santé, une ressource naturelle indissociable d'un art de vivre gourmand...


D'après la "thèse" de Marie Laure CHAMUSSY BOUTEILLE.

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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 12:25
Un risotto pour un dîner rapide, c'est chez nous toujours d'actualié... Les ingrédients sont des classiques : une échalote, du riz arborio, de l'huile d'olive (même pas une noix de beurre cette fois), du vin blanc sec (un fond de Jasnière), du bouillon de volaille, du sel et du poivre, cela va sans dire, du parmesan en copeaux, cela va mieux en le disant, auxquels j'ai ajouté en fin de cuisson des morceaux de jambon cru artisanal ferme et fondant à la fois. La touche de couleur ? Un reste de crème de potiron de la veille (environ trois cuillères à soupe. Le risotto prend une teinte orangée très gourmande et une petite saveur supplémentaire, subtile certes...


Riz encore en dessert, rond cette fois, au lait sucré aux chamallows, et mélanger à de la compote d'abricot, une note acidulée dans le crémeux laitier du dessert...

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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 08:38
Pour plaire à tout le monde, rien ne vaut des brioches (ou petits pains) sur mesure : à chacun la sienne ! Pour une même  quantité de pâte, ajouter des ingrédients à chaque pâton individuel, en fonction des goûts... et des couleurs. Au choix, épices (cannelle, cumin, curry...), herbes sèches (thym ou origan), fruits secs et à coque (raisins, figues ou abricots secs, fraises ou cranberries séchées, noix, noisettes, pignons, amandes...), fruits confits, cacao en poudre et chocolat en pépites, voire en barres, confitures et sirop emprisonnés dans les pains...
Laissez libre cours à votre imagination et customisez vos pains pour le plus grand plaisir des petits et grands gourmands, qui pourront aussi découvrir en aveugle, ces saveurs dans une chasse au trésor gourmande...

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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 08:10
Je vous rassure, la chanson de Julio Iglésias n'est pas l'objet de ce post ! La deuxième partie du titre vous aura éclairées (és, je n'oublie pas les lecteurs mâles intrigués qui pousseront la porte virtuelle de ce sujet éminemment féminin, mais pas féministe).

La tendance s'inverse depuis une ou deux décennies mais les femmes sont encore une minorité dans le monde du vin. Ceci dit, par comparaison aux siècles passés, cette avancée est un véritable bond en avant et une reconnaissance de la femme !


Jean-Pierre Corbeau, Professeur de Sociologie de la consommation et de l'alimentation à l'Université de Tours, a analysé ce tabou historique qui repose, selon lui, sur trois grandes croyances (masulines bien sûr) : l'incompatibilité du vin et de la fonction reproductrice de la femme, le sang menstruel impur qui risque de souiller le vin d'essence divine et considéré lui comme pur, et le fait de boire du vin qui a longtemps été réservé aux femmes sans moralité (prostituées, femmes légères, concubines, femmes adultères).

Au XIXème siècle, il était encore inconvenant pour une femme de boire du vin en public. La seule dégustation tolérée dans les milieux bourgeois était celle du petit verre de liqueur ou de vin sucré siroté à l'heure du thé, le vin "de visite, de courtoise et de conversation".

C'est surtout au XXème siècle que s'est démocratisée la consommation féminine de vin, notamment à la faveur du mouvement féministe des années 60 (et évoluant de concert avec la consommation de cigarettes). Ces tabous levés, les femmes sont naturellement celles qui achètent le vin ajourd'hui (trois femmes sur cinq !), au même titre que la nourriture du ménage. Non seulement consommatrices, elles sont venues, depuis une vingtaine d'années, grossir les rangs des oenologues et vigneronnes, sommelières et cavistes, journalistes et dégustatrices...

Toutes les études tendent à montrer que l'homme et la femme ont des analyses sensorielles différentes. Leur sens du goût et de l'odorat diffèrent et il semblerait qu'en la matière les femmes aient plus de "nez" que leurs acolytes masculins. De là à estimer qu'il existerait un "charme", au sens originel du terme, exercé par les femmes pour percer les mystères du vin... Car la science est jusque là incapable (en dépit des cerveau droit/cerveau gauche) d'expliquer cette distinction entre les sexes...
Cette aptitude est d'ailleurs amplifiée durant la grossesse, dommage que cet état soit relativement incompatible avec celle de la dégustation : même si l'on crache, on absorbe en effet toujours un peu d'alcool par les muqueuses de la bouche et par le nez, lors du flairage. Il vaut mieux alors les limiter, selon les prescriptions actuelles ; quant à boire du vin, il est totalement proscrit pour les femmes enceintes.

Il faut encore préciser que la mécanisation a fortement aidé à la féminisation de l'art viti-vinivole : ce qui était jadis (et il n'y a pas si longtemps) des travaux virils et salissants, sont devenus plus simples, car les outils sont plus performants et faciles à manipuler. Il reste qu'on compte surtout des maîtres de chais femmes plutôt que des ouvrières viticoles, hormis durant la période des vendanges...
Mais elles sont encore loin (en France notamment) d'égaler les hommes en nombre (pas en talent !). C'est à déplorer mais le milieu vinicole est trop souvent un univers machiste...

Depuis les années 80, les femmes travaillant dans le milieu du vin s'organisent au sein de différentes structures regroupant viticultrices, journalistes ou oenologues. En 2003, plusieurs associations allemande, française, espagnole, grecque, suisse et hongroise s'unissent afin de créer l'"International Associated Women in Wine" (IAWW).
A noter, le site-vitrine d'Isabelle Forêt, Wine Woman World, auteur de livres sur les vins au féminin, évoque la boisson sous toutes ses formes avec quelques petits "plus" spécifiquement féminins comme l'axe "beauté" avec des articles sur le vin-jouvence ou la vinothérapie...

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