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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 10:15
Il y a quelques temps, j'avais cueilli des violettes parfumées auxquelles j'avais écrit une ode (à la façon de tara...) et dont j'avais parsemé une salade hésitant entre hiver et printemps... Mais le véritable objet du désir est celui-ci !


De la gelée de violette à base d'agar-agar... Même si j'ai eu la main un peu lourde sur ce dernier (le mieux est parfois l'ennemi du bien et je n'ai toujours pas reçu la bible de Cléa...).

Ingrédients
- 165 grammes de fleur de violette (c'est tout ce que ma première cueillette m'a permis de récolter...)
- 30 dl d'eau
- 170 grammes de sucre en poudre (environ)
- 1 gramme d'agar-agar (c'est trop bien évidemment, mais après cela se complique pour la pesée ! une demi cuillère à café devrait suffire...)

Préparation
Faire infuser les fleurs de violette dans de l'eau bouillante 24 heures. Mettre sur le feu avec le sucre et l'agar-agar, faire bouillir deux minutes et mettre en pot.

Cette gelée, je l'ai voulue très concentrée, rien n'empêche après de la diluer selon l'usage... Pas de couleur mais la saveur y est, elle, vraiment !


Vue du fonds d'un pot de gelée

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 12:43
A la lettre...
J'ai suivi la recette de Ségolène (boire et manger, quelle histoire !), LA marmelade d'orange amère, so british !

Vite fait bien fait...
J'ai détaillé les zestes en fines languettes et la pulpe en gros morceaux, couvert d'eau et laissé "infuser".

Lentement...
Le temps a fait son oeuvre, en l'espace de 24 heures, mais sans doute était-ce plus que le délai recommandé par la pâpesse de la mémoire culinaire, l'amertume a quitté le fruit. L'osmose, genèse de cette aventure gustative de cette confiture en devenir...

Généreusement...
J'ai couvert de sucre poudreux, à raison du même poids que la préparation obtenue, jus et fruits confondus. Le crissement glacé s'est assoupli au contact de la moelleuse amertume pour donner naissance à un mélange onctueux et gluant.

Sans coup férir...
Le sucre est devenu sirop brillant, luisant de ses feux orangés dans les quartiers fondus de la bigarade, investissant chaque parcelle fruitée. Osmose encore...











A pas de loup...
30 minutes, l'horloge en témoignait, le bouillon a duré, bruissant, grondant comme une cascade sucrée, signal d'une marmelade presque terminée.

Chaud devant !
La confiture s'écoule langoureusement au creux d'une cuillère, qu'elle nappe amoureusement avant de se figer... Dans les pots (préalablement stérilisés au four à 60°C), je l'ai versé, brûlante, collante,  savoureusement parfumée. Les couvercles se sont refermés, les pots retournés... La confiture est terminée !



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