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10 janvier 2016 7 10 /01 /janvier /2016 16:58

Ce dimanche, je vous propose d'utiliser un reste de crème pâtissière (qui ne se congèle pas). Peut-être en avez-vous si vous avez préparé des galettes à la frangipane ? Plus qu'une recette, comme souvent le dimanche soir, il s'agit davantage d'une astuce pour utiliser les restes, que l'on peut bien sûr employer pour divers fruits de saison. Rien de plus simple pour ce gratin de pomme à la crème pâtissière, un dessert chaud et gourmand de surcroît. Attention à la cuisson, ici c'est resté un tout petit peu trop longtemps, vous ajusterez...
Ingrédients
- 1 pomme ou deux
- reste de crème pâtissière
Préparation
Couper la pomme pelée et épépinée en lamelles fines, disposer dans un plat à gratin, couvrir de crème pâtissière et enfourner à 210/220°C 15/20 minutes le temps de gratiner. Laisser tiédir un peu avant de servir.

L'idée du dimanche soir : gratin de pomme à la crème pâtissière (cuisine des restes)

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9 janvier 2016 6 09 /01 /janvier /2016 09:01

Près de Salon de Provence, surplombant l'étang de Berre, s'étend un domaine de 1100 hectares, entre nature sauvage et cultivée... 110 hectares de vignes en Coteaux d'Aix, 60 d'oliviers et des céréales découpent en parcelles l'ensemble des terres de Château Calissanne, aujourd'hui propriété de Sophie Kessler. 
Ancien oppidum, dont il reste l'enceinte et des traces d'occupation celto-ligure, ancien fief des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, le domaine a été agrandi au XVIIème siècle, date de la construction du château. Le XXème siècle voit l'activité agricole s'étoffer avec le travail de la vigne et de l'olivier, activité majeure qui domine toujours au
domaine de Calissanne.

 

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée
Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

Dans cette garrigue touffue et odorante se dressent des pitons de calcaire, impressionnantes falaises surplombant l'immense domaine. Jadis exploitées, les anciennes carrières ont été abandonnées au début du XXème siècle car jugées dangereuses, mais le calcaire de Calissanne reste célèbre d'Aix (Cathédrale Saint Sauveur) à Marseille (Notre Dame de la Garde, le Palais Longchamp, le Prado) et même au-delà : à Paris, place du Trocadéro, les chevaux de Marly sont taillés dans la pierre de Calissanne !
Ce calcaire à nu et taillé à la verticale offre une acoustique étonnante et un paysage fantastique dont l'oeil dispute la paternité humaine à la nature qui y a retrouvé ses droits... Là-haut, la biodiversité est une richesse préservée, et les apiculteurs y mènent même leurs abeilles en transhumance...

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée
Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

Sur un terroir composé de cailloutis sur calcaire, prometteur de vins fins et minéraux, la vigne s'épanouit sur des côteaux en pente douce orientés plein sud, dans un climat protecteur, balayé par l'air marin. Au total, le domaine vinicole se compose de 25 parcelles. L'une d'entre elles dite "Rocher rouge", du nom de la cuvée parcellaire emblématique du Château Calissanne, est constituée à majorité de vieilles vignes de Mourvèdre, au pied d'une falaise rougie d'oxyde de fer.

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée
Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

A quelques curiosités près - non encore dégustées - comme un Marselan ou un Muscat sec en IGP Vins de Méditerrannée, la gamme des vins de Calissanne se répartit sur les trois couleurs entre la gamme Terres de Provence, Clos Victoire, Château Calissanne, toutes en appellation Côteaux d'Aix, ainsi que les cuvées Rocher rouge et Epidaure.
En rosé, le Château Calissanne rosé 2015 est très fruité, un côté "bonbon", friand, croquant. A noter, le Calisson de Calissanne (grenache, cinsault) un rosé élégant, un peu floral, avec une finale sur l'agrume, des notes de pamplemousse rose, tout en légèreté.

En rouge, le Château Calissanne est gourmand, fruité avec des tanins fondus, vin de plaisir et de gastronomie. Epidaure (cabernet sauvignon, syrah) laisse exprimer les épices et le fruit noir du cépage rhodanien, avec des notes de torréfaction, café, grué de cacao. Vin très intéressant à marier avec petit gibier ou viandes de caractère... 

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

Le Clos Victoire rouge offre un fruité plus frais en bouche, équilibre et plaisir sont au rendez-vous. Rocher rouge est plus concentré, texture dense, riche, et puissance, des fruits et surtout des épices ; un accord de coeur avec des plats plus exotiques et des desserts à base de chocolat notamment...

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

Outre les Coteaux d'Aix du Château de Calissanne, j'ai dégusté les vins d'un domaine de Châteuneuf du Pape, acquis récemment et nouvellement baptisé la Clef de Saint Thomas.
Pierre Troupel blanc 2014 (grenache blanc, bourboulenc, clairette), floral au nez, offre de la finesse et un fruité subtil en bouche. La Clef Saint Thomas blanc (mêmes cépage et roussanne, élevage bois) est plus exubérant et plus puissant avec des notes de fruits exotiques et d'épices. 
En rouge, Pierre Troupel est un Châteauneuf plus frais, dans un style plus "moderne", la Clef Saint Thomas est plus traditionnel, mais une tradition subtile, épicée, avec la puissance attendue et des notes balsamiques et de torréfaction. 
A suivre...
Pour en savoir plus, cliquez sur le site du Château Calissanne.

Au château de Calissanne, entre nature sauvage et cultivée

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8 janvier 2016 5 08 /01 /janvier /2016 06:55

Après les fêtes il me restait un morceau de morue à dessaler qui allait être utilisée dans plusieurs recettes dont celle d'aujourd'hui, après une pièce de boeuf braisée au vin rouge. J'ai gardé le fonds de jus de cuisson réduit et j'ai fait dorer la morue, acompagnée d'une purée de carotte juste relevée de cardamome, arrosée de jus de viande. Un peu comme pour ce lieu jaune au jus de daube. Pour amateurs de terre-mer !

Ingrédients
- 1 pavé de morue salée
- 2 carottes
- 1 gousse de cardamome

- beurre (ou huile d'olive)
- reste de jus de viande (type jus de daube)
- sel, poivre blanc (facultatif)

Préparation
La veille ou deux jours avant, dessaler la morue dans plusieurs eaux. Puis pocher doucement dans l'eau frémissante, hors du feu. Effeuiller la morue, réserver. 
Cuire les carottes dans l'eau salée avec la gousse de cardamome. Ôter celle-ci, mixer finement, réserver au chaud.
Réchauffer le jus de viande. Passer la morue au beurre et servir sur la purée de carotte, arroser de jus de viande et parsemer de mâche, par exemple.

Morue, purée de carotte, jus de viande

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 07:24

Le plaqueminier est l'arbre qui perdure en hiver quand tous les autres fruits ne sont plus, il gardent ses fruits flamboyants intacts, mûrissant peu à peu, figés par le froid et prolongeant leur longévité, fausse impression d'éternité. Cet arbre nu ponctué de boules rouges est un autre "arbre de Noël"...
Fruit originaire d'Asie, le
kaki est extrêmement populaire en Chine, en Corée et au Japon (aujourd'hui les trois plus gros produceurs mondiaux) ; kaki est un mot japonais porté par le kakinoki, plaqueminier en français. Il en existe des variétés douces et d'autres astringentes* qui se consomment très mûres, voire blettes, ou séchées. Le fruit étant fragile, une peau fine qui se perce aisément,le séchage est une bonne alternative à la conservation et au voyage... On trouve le kaki également sous forme de vinaigre et il sert à sucrer naturellement les mets et boissons. Au Japon on utilise également la feuille dans laquelle ont fait "fermenter" des sushi.
*astringence populaire, culturelle au Japon

 

Plaqueminier (kakinoki), détail, Sakai Hoitsu, Japon, 1816, n° Inv.57.156.3, Metropolitan Museum

Plaqueminier (kakinoki), détail, Sakai Hoitsu, Japon, 1816, n° Inv.57.156.3, Metropolitan Museum

Ce sont les Italiens, autre peuple friand de kakis, qui l'importèrent de Chine au XVIIème siècle. La production se diffusa par la suite en France, notamment dans le Sud-Est où on le cultive, même s'il reste principalement un arbre de jardin.
Parmi les variétés douces, citons le
kaki fuyu, dit kaki d'hiver (au premier plan ci-dessous) : rond, de couleur orange, il se croque comme une pomme offrant un texture ferme, juteuse, un peu plus fondante si on le laisse mûrir davantage. Très apprécié en fruit de bouche, on peut l'utiliser en cuisine en pickles (tsukemono), en pâtisserie, en fruit cuisiné ou en confiture. On peut encore le faire sécher. On trouve encore le kaki jiro, plus aplati et plus clair. On trouve encore le Sharon made in Israël. 
Parmi les kakis astringents, citons le
kaki hiratanenashi de forme carrée (traité chimiquement), le 
kaki Hachiya bien sucré si on le consomme blet mais très astringent s'il n'est "que" mûr,.
En France on trouve le 
kaki muscat, sans pépin et doux (celui planté chez moi, d'autres photos issues de mon jardin, ici). D'autres variétés à découvrir encore ici.
Je recommande également la lecture de cet intéressant billet, bien documenté (ainsi que d'autres proposés en lien). A visualiser aussi cette émission très intéressante (merci JP !).

Le kaki, or éternel des jardins...

Un célèbre haïku de Masaoka Shiki (1867-1902) évoque la façon de déguster le kaki, en le croquant comme une pomme, s'agissant peut-être d'un kaki doux :

Kaki kué-ba, 
kané-ga naru-nari. 
Hôryûji 


La traduction d'un Japonais est :

Croquant un kaki, 
la cloche résonne 
Hôryûji*


*"temple le plus ancien et le plus représentatif de la ville de Nara, la capitale du huitième siècle qui a connu la floraison des architectures bouddhiques", dixit.

 

Le kaki, or éternel des jardins...

Le kaki se mange traditionnellement givré (il l'est parfois naturellement !), on le fait sécher mais ont peut aussi l'accommoder sucré et salé. Voici quelques recettes à base de kaki figurant sur le blog :
Muffin d'automne ; confiture de kaki à l'orange et pavot ; panna cotta aux noix et kaki ; mini galette des rois frangipane sésame noir et kaki ; accompagnement de perdreau ; soupe de kaki à la gentiane

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 07:01
Après la série des soupes salées, voici une soupe sucrée et une idée toute bête pour manger le kaki autrement "qu'à la coque", c'est à dire en plongeant la cuillère à même le fruit : une soupe, presque la même chose me direz-vous ? Certes, on plonge la cuillère de la même façon, mais on aura mélangé auparavant deux choses pour "réveiller" le kaki, qui sait être douçâtre, un peu mou, à qui il manque un peu de verdeur et de nervosité : de la liqueur de gentiane, primo. Ca tombe bien, LUI n'est pas là. IL exècre l'amer et hait franchement la gentiane Couderc ! Mais justement dosée, elle apporte quelque chose, un peu comme le Martini, le Campari et ce genre de boissons... Deuxio, du jus de citron, ou un autre agrume bien nerveux ! Réveille toi, joli kaki !
Les feuilletés, c'est pour le croquant et la gourmandise. Les mini torsades sont "cloutées" de miettes de gingembre confit... Accord réussi et soupe très agréable !
NB ce billet (initialement de novembre 2008) est une réédition associant astringence sucrée du kaki, acidulé su citron et amertume de la gentiane, en écho à l'article de lundi..




Ingrédients (pour 1 personne !)
- 1 kaki
- 1 cuillère à soupe de liqueur de gentiane
- 1/2 cuillère à soupe de jus de citron
pour les torsades au gingembre confit
- 1 dé de gingembre confit
- une chute de pâte feuilletée (environ 0,5cmx20cm)

Préparation
Couper la pâte feuilletée en fin bâtonnet, y piquer. des éclats de gingembre confit, torsader, dorer éventuellemnt avec un peu du jaune d'oeuf mêlé à un peu d'eau. Enfourner quelques minutes à 190/200°C. Quand ils sont dorés, laisser refroidir.
Mélanger la chair du kaki avec la gentiane et le jus de citron. Déguster assez frais avec les torsades feuilletées au gingembre confit.


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5 janvier 2016 2 05 /01 /janvier /2016 07:46

Cette première galette des Rois "maison" est inspirée du Japon, avec l'ajout de lamelles de kaki, fruit emblématique qui perdure sur son arbre, même en plein hiver, et la crème de sésame noir. Cette mini galette frangipane au sésame noir et kaki offre des saveurs avec la légère astringence du fruit.
Autre clin d'oeil à l'Asie, cette galette yin yang bicolore ou  celle-ci à la rose et aux litchis faussement "Ispahan"...
Ingrédients
- 1 rouleau de pâte feuilletée (sauf si vous faites la pâte vous même mais pas eu le temps, sinon voici une recette excellente)
- 100 grammes de crème frangipane (voir la recette ici)
- 20 grammes de pâte de sésame noir 
- 1 kaki frais (très bon aussi l'association avec le kaki séché)
- 1 jaune d'oeuf pour dorer
Préparation
Préparer la crème frangipane, préelver 100 grammes et mélanger avec le sésame noir.
Déposer sur le fond de pâte feuilletée, déposer quelques lamelles de kaki, la fève et déposer la seconde baisse de pâte feuilletée. Souder les bords et dorer au jaune d'oeuf un peu détendu d'eau.
Enfourner à 190°C environ 20/25 minutes. Laisser refroidir.

Mini galette frangipane au sésame noir et kaki, épiphanie d'inspiration japonaise !

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4 janvier 2016 1 04 /01 /janvier /2016 07:04

En Occident, hormis pour les tanins du vin, l'astringence est une sensation très peu mise en avant et rarement décrite. Tandis qu'au Japon, la notion d'astringence fait partie intégrante de la culture et de la vie. L'astringence est la saveur du kaki, fruit emblématique du plaqueminier (kakinoki), dont il existe des variétés douces et d'autres astringentes. Cette saveur est dite shibui (astringent). La notion y est éminemment positive puisque l'on parle d'un homme astringent ou d'une voix astringente pour les valoriser et en souligner le raffinement discret, une forme de distinction. On parle même de couleur astringente, kakishibu, pour évoquer une teinte plus atténuée que vive, obtenue à base de jus de kaki fermenté, cet astreingent de kaki donnant une teinte ocrée tirant vers le brun ou vers le rouge. Le vocabulaire s'est alors étoffé pour désigner des objets teints, tels les kakiso (vêtements de kaki) ou les kakiiushiwa (éventail de kaki). Rien à voir avec notre couleur kaki* !
La saveur donnant naissance à la couleur, c'est éminemment poétique et suffisamment rare pour être souligné.
L'astringence ou saveur de kaki, jadis appréciée, est devenue toutefois un défaut dans cet univers marchand mondialisé et l'on traite chimiquement cette astringence sur certaines variétés de kaki destinées à voyager, à être exportée. A commencer par les producteurs japonais. Paradoxe...
Ceci me rappelle un intéressant article de Chihiro Masui dans lequel elle soulignait le dédain d'une jeune japonaise qui préférait la cuisine française à la culture culinaire de son pays, car rien selon elle n'y pouvait évoluer, tout étant figé, techniques comme ingrédients, et apparaissant dès lors comme... fade !


*la couleur vert kaki anciennement khaki vient d'un mot hindi qui évoque la terre
source http://www.maisondexceptions.com/kakishibu-la-couleur-de-lastringence/
Lire aussi
L'astringence de Ryoko Segikuchi (Argol Editions)
 

Cueillette de kakis, détail, Kitagawa Utamaro, Japon, ca. 1803, Epoque d’Edo (1615–1868), Metropolitan Museum

Cueillette de kakis, détail, Kitagawa Utamaro, Japon, ca. 1803, Epoque d’Edo (1615–1868), Metropolitan Museum

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3 janvier 2016 7 03 /01 /janvier /2016 07:59

Après les premières mises en bouche festives et les vins choisis pour cette fin d'année, un détour par la rue de Turenne s'imposait, chez Jacques Genin, admirable chocolatier, pâtissier et confiseur. Dommage que le salon de thé ait été fermé durant les fêtes... Les chocolats sont d'une grande finesse, bien équilibrés dans les saveurs et textures, comme le praliné citron ou la ganache bergamote, parmi mes favoris... ; les caramels sont délicieux et les pâtes de fruit (et de légume ! poivron, rhubarbe, concombre, poivron et butternut) remarquables, ce sont des joyaux extrêmement bien équilibrés à la saveur franche et pas trop sucrés.

Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (2) : Genin-Gaudard, G comme Gourmandise !

Pour l'Epiphanie (avec un peu d'avance sur le calendrier car c'était aussi l'anniversaire de ma cadette...), j'ai hésité entre Arnaud Larher, MOF du 18ème et Sébastien Gaudard, supposé offrir une des cinq meilleures galettes des Rois de Paris, C'est donc chez le dernier au salon de thé des Tuileries, que je suis passée pour cette galette amande légère, aérienne, croustillante et fondante, garnie d'une crème d'amande rehaussée de Rhum agricole de Martinique. J'ai aussi acheté deux kouglofs individuels et une brioche "cire d'abeille".
Genin & Gaudard, G comme Gourmandise !

 

photo Sébastien Gaudard

photo Sébastien Gaudard

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2 janvier 2016 6 02 /01 /janvier /2016 10:57

Comme souvent, un séjour parisien se solde par des balades gourmandes, restaurants et salons de thé, pâtisseries et chocolateries, cavistes et épiceries...
Cette fin d'année n'a pas échappé aux habitudes de gourmet : un soirée chez vintage wine, une autre dans le 13ème arrondissement de Paris avec quelques courses alimentaires en prévision du nouvel an asiatique, ainsi qu'un bon restaurant vietnamien avec mon amie Sophie et nos filles respectives, Comme au Vietnam où nous avons dégustés des nems, différents plats dont un très bon pho (référencé parmi les meilleurs phos ici d'ailleurs)

Côté salon de thé, Un dimanche à Paris, avec différentes pâtisseries et macarons accompagnés d'infusions fruitées et d'un excellent café Blue Montain. Ci-dessous, la seule pâtisserie que j'ai eu le temps de prendre en photo, une tartelette marron-litchi, beaucoup de finesse, saveurs bien équilibrés sur un sablé croustillant et un peu salé. Et des macarons bien équilibrés, une préférence pour  cassis, pêche de vigne et citron vert-gingembre.

Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste
Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste

Nous avons découvert également la boutique ravissante d'un ravissant glacier italien, également salon de thé, Il Gelato del Marchese : glaces et bûches glacées certes, avec de divines saveurs sucrées (marron glacé-Cognac, zabaione, tiramisu, pistaches...) et salées (ricotta-tartufo ! parmesan ou encore moutarde), mais également du chocolat chaud et le panettone !

Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste
Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste

Coté vins, j'ai glané chez Philippe Cuq, au Lieu du Vin, quelques perles, notamment un Meursault 2012 de Sylvain Loichet, bien équilibré, subtil, avec un texture très agréable, suave, et une belle longueur. Bel accord avec de la langouste notamment... A noter un excellent Champagne rosé en biodynamie, Bourgeois Diaz RS, très peu dosé : une saignée de pinot noir et meunier, d'une fabuleuse couleur soutenue, bulle vive, plus fine qu'il n'y paraît, frais et fruité en début de bouche, salivante finale avec une pointe d'amande amère sur une belle longueur. Champagne d'apéritif comme de gastronomie.
A suivre les chocolats et la galette de l'Epiphanie, demain...

Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste
Promenades gourmandes et shopping de fêtes à Paris (1) : salon de thé, restaurant vietnamien, caviste

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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 15:28
Les cinq commandements du chocolat par Jacques Genin

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