Dans Paris de ma fenêtre*, témoignage et recueil de conseils domestiques durant la guerre, Colette évoque ou plutôt n'évoque pas le rutabaga qui a très mauvaise presse et dont les gens ne veulent plus entendre parler !
Si le mot "rutabaga" n'était, par tant de délicats, honni, je vous dirais bien que la tarte au rutabaga peut se faire chez soi à peu de frais... Vous n'en voulez pas ? Bon, je me tais.
(...)
Tarte aux fenouils, tarte aux pois de conserve, tarte à l'oseille, tarte aux rutab... Aïe, me voilà à l'amende. Une de mes correspondantes m'a taxée : cinq francs pour ses pauvres chaque fois que j'écrirai le mot ruta... enfin ce mot-là.
Je vous rappelle ce jeu culinaro-littéraire, si vous souhaitez participer...
*Le livre m'a été recommandé par Isabelle, elle-même également fan de Colette...